Il n’est plus à démontrer que notre santé physique et psychique
dépend en grande partie d’une bonne qualité du sommeil. Notre niveau de résistance aux maladies ainsi que notre seuil de tolérance au stress sont en étroite
relation avec le sommeil.
C’est en effet pendant la nuit que l’hormone de
croissance est principalement synthétisée, lors des
phases d’endormissement (sommeil lent profond).
Les activités anaboliques de l’hormone touchent le
métabolisme protéique (transport des acides aminés),
lipidique (mobilisation des réserves de graisses) et glucidique (élévation de la glycémie) qui participent notamment à nos systèmes de réparations tissulaires et au
renouvellement de nos cellules intestinales. Ces réparations cellulaires sont primordiales au maintien de nos
défenses naturelles contre les infections bien sûr mais
également contre tout autre agent pathogène transporté dans le bol alimentaire (nitrosamines cancérigènes
provenant des nitrites utilisés comme agent de saumurage, de salaison et de conservation dans les viandes
transformées et dans les charcuteries).
Il est nécessaire que le sommeil soit continu afin
de maintenir nos performances physiques et psychiques. En effet, nos fonctions cognitives (attention,
concentration et mémoire) sont directement liées à la
qualité de notre sommeil paradoxal, prédominant en fin
de nuit (phases de rêve pendant lesquelles sont synthétisées nos protéines de mémoire).
Un bon sommeil augmenterait l’espérance de vie.
Selon une étude américaine menée sur près de 1 million de participants, les personnes dormant pendant 6
à 7 heures vivraient plus longtemps que les personnes
appartenant aux autres groupes (> 8 à 9h ou < 4h).
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